Alors comme ça, il parait que le petit monde de Joueb continue à survivre. Il paraitrait même que le petit monde de Joueb ait faim. Au point d'en faire un pique-nique. J'ai grignoté ce que j'avais loupé, un peu.

Pendant ce temps là, du temps qui coule, court et roule. De mille choses l'une :
- On fait ce qu'on peut pour maintenir la tête hors de l'eau.
- Du coup, on relativise et on fait le minimum sociétal : Examens, oraux, bref BTS et recherche d'emploi.
- Le rugby, c'est fini jusqu'en Août, et le foot, vous savez bien. Donc, adieu petit écran.
- Vive toi, mon grand. Et la Tête en friche qu'on aimerait avoir parfois.
- Puisqu'on ne l'a pas, autant en profiter. Et on tue des bestioles à coups de Browning avec Anita, ça distrait et même, à force, les colonnes vertébrales me font rire.
- Et dans une ambiance plus romantique, autant relire les inconditionnels, en attendant le film Eclipse.
- Ne pas réfléchir, ne pas penser, ne pas chercher un sens. Nécessité de fuir, mais obligation de rester. Pour quoi faire ?
- Vacances en Bretagne, censées éloigner. Et puis, les souvenirs s'accrochent et je vois la nuit. Moi qui dormais si bien.
- Comment s'engager dans ce qui nous tient à coeur ? Comment changer de voie, de centres d'intérêts ?
- Mon petit a failli voir ses jours prendre fin. Et puis, je ne peux pas - fourberie- alors restons-en là.
- Un peu de chance...

Blog en court de soft-isation, j'espère et ne sais pas tellement.