Joueb.com
Envie de créer un weblog ? |
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web. |
[Lofofora]
Lofofora, c'est hyper sexe (j'adore trop la voix de ce foutu chanteur mais sérieux, c'est grave, c'est sex, c'est... buh xD) alors paroles ! Vive le feu (*reprise* pour faire plaisir à Mr Pinard...) (" Une étincelle peut mettre le feu à toute la plaine "). Une raya de bambins livre aux flammes leurs landaus. Une ribambelle de nains fout le feu dans l'métro. Une armée de gamins qui brûle les magasins. Trois millions de lycéens carbonisent leurs bouquins. Une concierge allumée fout le feu au quartier. Le président fêlé enflamme l'Elysée. Trois secrétaires en chaleur calcinent leur directeur. Une tribu de bonne sœurs incendie l'Sacré Cœur. Laï laï laï laï Laï laï laï laï Laï laï laï … Un trio de grands brûlés fait exploser l'hosto. Et 5000 chimpanzés dynamitent le zoo. Des rastas éclatés, c'est chaud dans le ghetto. Les feux dans la cité brûlent pour Géronimo. Des soldats cannibales rôtissent leur général. 300 patrons qui craquent font sauter la baraque. Et un vieux bonze chinois se pétrole le minois. Le froid tue la fillette qui n'a plus d'allumettes. Chorusse Les hooligans des stades préparent les jerrycans. Les jeunes chômeurs s'la donnent aux cocktails Molotov. Des iraniens inflamment le corps de l'Oncle Sam. Des squatters s'tapent un bœuf autour d'un grand feu d'keufs. Un gang de pyromanes se croit au paradis. Les pompiers en ont marre, c'est la grève aujourd'hui. Il y a le feu partout, c'est la fête des fous. Il y a le feu partout, viv'le feu, viv'les fous. Chœur slaves de la Jeunesse Un gang de pyromanes se croit au paradis. Les pompiers en ont marre, c'est la grève aujourd'hui. Il y a le feu partout, c'est la fête des fous. Il y a le feu partout, viv'le feu, viv'les fous. Chœur solo Re-Chorusse Vice et Râle Peau, dans la peau, dans la peau j'ai le vice comme la belle est complice surgissent aux commissures un appétit de luxure comme une montée subite nous incite nous invite à des gestes explicites elle ondule se dévisse je capitule et me glisse à l'instant propice tel un serpent entre ses cuisses prosterné devant le talisman de la matrice je ne résiste pas que mon destin s'accomplisse puisque dans la peau j'ai le vice je lui ôte le haut, elle me ôte le bas hot est l'atmosphère à la vue de ses 2 sphères mon esprit se divise, se dissipe, se disperse et les pensées matérialistes m'indiffèrent d'un mouvement de hanche elle me happe le manche et la voilà qui chante comme un oiseau sur sa branche ça n'est vraiment pas le moment que je flanche restons étanches avant que la tempête se déclenche peau dans la peau dans la peau j'ai le vice je lui lisse le poil, lui montre les étoiles l'envoie dans un monde fractal fait de volutes roses on se confronte tout d'un tas de choses qu'elle évoque sans que cela me choque dans une longue prose, comme ma langue change de prose je lui donne l'occase de me rendre la pareille [l'appareil] génital du bout jusqu'à la base. heureuse flatteuse m'engloutit la muqueuse, la tige nerveuse l'attitude est vertigineuse peau dans la peau dans la peau j'ai le vice sensiblement je m'enlise dans le long glissement de tes reins, elle est tellement chaude que l'on s'agite aux limites de l'obscène trop humides pour être conscients ni même lucides de la scène… mangeons le fruit jusqu'au défendu... Amnes's history Comment pourrais-je oublier alors encore enfant A l'école "nuit et brouillard" sur l'écran Dans le noir nos yeux hagards ne comprenaint pas Comment nos grands parents avaient laisser faire ça Un tyran, un fou, heros d'une nation, oeuvrant ouvertement Pour l'extermination d'une population désigné responsable d'office Accusée, coupable, offerte en sacrifice A tout un pays affamé de pain et de gloire Ils semblaient fiers de l'infamie, certains de la victoire Usant de la foliie poussant à l'agonie les victimes choisies. Peu d'espoir de survie dans les camps de la mort Pire que du betail, je ne crois pas qu'il s'agisse là D'un simple de point de détail, furent batti les plus grands Abbatoirs de l'histoire. Dans d'étranges laboratoires D'obscurs docteurs mettaient un point d'honner A cultiver l'horreur sourds aux cris de douleur D'un peuple qui meurt pour la sauvegarde de la race blanche Et le cauchemard recommence Les somnambules reculent alerte à la démance Comme un hazard de l'histoire le cauchemard recommence Comment piurrais-je oublier quand 50 ans plus tard Ressortais des placards le même vieux scenar' On avait juste changé le nom des protagonistes Pour faire le vide on ne dis plus genocide, mais purification Ethnique, et on nous explique que l'on à rien à craindre Et pas de temps à perdre, chacun sa merde ! A trops s'en foutre nous sommes devenus des laches Complices inactifs d'une nouvelle tache. Dans les livres D'histoires quelques pages qu'on arrache, mais quelque part, dans notre mémoire se cachent, les images D'un carnage qui reviennent en flash Aujourd'hui un foyer d'immigrés incendié en Allemagne Partout en Europe, en Italie comme en Espagne Ici aussi en France c'est une évidence Le cauchemard recommence Qui sera demain la cible des racistes iracibles ? Qui seront les coupables, qui seront les victimes ? Du même crime perpétué contre l'humanité Qui devra prouver qu'il a le droit d'exister Qui pourra alors s'en foutre, devenit un lache Complice inactif d'une nouvelle tâche. Qu'allons nous dire aux enfants quand ils ne Comprendront pas comment nous aussi avons Laissé faire ça, pour la sauvegarde de la race blanche Que le cauchemard recommence. [Ecrit par mondaye] [Mercredi 19 Janvier 2005, 22:58] [L'éternité du passé] [Nids douillets] [L'éphémère du futur]
[Y aller de son commentaire]
[Commentaires]
|
[ Session ]
[ L'arbre de Mercure ]
[mondaye] [Chlorophyle] [A la cime] [Branches & Feuillages] [Nids douillets] [Bouffées d'air frais] [Liens] [Archives]
[ Commentaires ]
[ Ailleurs ]
|
à 10:01