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[Délire]
Pur délire, no comment
Innocents. Ce n'était pas un crime. C'était une vie. Une vie emplie de l'illusion du monde, de son rêve. L'amour. La haine. La vérité, la réalité du monde... la souffrance. La souffrance de la vie, qui mène à la mort. Tout est lié. Rien n'est laissé au hasard, c'est ça aussi, la vie. "La vie ne vaut d'être vécue sans amour" ? Normal, l'amour, c'est la mort. Pour vivre, tu dois mourir. Perfection. Aime, et meurs pour avoir aimer, c'est ton châtiment, ton destin, ta damnation. Un fou te dira que le véritable amour existe, ou que si l'on y croit pas, rien n'arrivera. Combien de personne on périt pour avoir oser y croire ? Combien on aimé, puis haït ? Est ce que ça en vaut vraiment la peine ? Coupables. Coupables d'avoir causé leur propre mort ? D'avoir espéré... et d'avoir réalisé leur rêve commun ? D'avoir aimé donc. Qui peut leur reprocher ? Ils se sont rencontrés. Ils ne se sont pas aimés, non. Ils s'aiment. Ils vivent. Ils sont éternels. L'éternité étant une illusion... elle avait une fin. Ils se sont aimés. Morts. Etre à moitié blanche à moitié noire, à moitié enthousiaste à moitié pessimiste, à moitié intelligente à moitié idiote, à moitié bavarde à moitié calme, à moitié gentille à moitié cruelle, à moitié ange à moitié démon, à moitié vivante à moitié morte. Sans jamais parvenir à passer les frontières de toutes ces choses qui font qu'est est soit bon, soit mauvais. Etre comme une moyenne parfaite. Etre tiraillée entre deux mondes, en permanence. Avoir l'esprit complètement opposé à lui même et à ses propres idées. Etre sans cesse déchirée, pour tout, toujours. Je t'aime Tu me manques J'aimerais que tu sois de nouveau près de moi J'ai besoin de ta force, de ton âme, de ta vie De ton corps, de ton coeur De ton amour, de ton bonheur, de ton malheur, de ta souffrance, de ton espoir... de toi. Je n'en peux plus Ce gouffre de vide qui chaque jour grandit M'enveloppe loin de toi Je chutai dans les flammes de l'enfer à tes côtés Mais je n'avais pas mal, j'aimais Mais cet abîme de rien me ronge Et plus aucun feu ne m'anime J'ai froid. J'ai peur. Montre-toi. Je pleure. Réponds moi. Aime moi. Reviens moi. Je t'aime. Prononce de nouveau ces mots si doux à mes oreilles Ont ils encore un sens pour toi ? En ont-ils jamais eu ? Je te t'ignore pas Mais tu me manques tellement... 1 minutes, 2 ou 100 à tes côtés suivies d'un nouveau silence Me déchirent davantage qu'une absence continuelle Où es-tu ? Reviens. Je n'en peux plus. Reviens. Je t'aime. Ce vide demeure sombre quoi que je fasse pour l'éclairer. Tu es ma seule lumière. Toi seul peut rallumer le feu, toi seul m'a imposé la nuit pour l'amour. Je ne t'en veux pas, je savais. Ton absence me tue. Tu ne m'aides pas. Tu me tues. Mais je t'aime. Ne pars pas. Tu me manques. Ne m'abandonne pas, pas maintenant... Je n'en peux plus, je veux mourir, mourir avec toi. Je veux te tuer. Je te perds, je le sais, je le sens. Tu ne me regardes plus, m'évite. Je t'en prie, dis moi comment te retenir. Je ne veux pas que notre amour s'effrite. Lui, si pur, si beau, si merveilleux, si grand, si ténèbreux, si amoureux. Je suis prête à tout pour ne pas le voir partir Mais il est rongé par le temps Il est rongé par l'absence [Ecrit par mondaye] [Samedi 11 Décembre 2004, 00:08] [L'éternité du passé] [Branches & Feuillages] [L'éphémère du futur]
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