Une semaine parmi tant d'autres. Globalement... Je ne sais pas. Des hauts, des bas. 7 jours. Tellement de choses en si peu de temps. A la fois rien.
Les cours, comme d'habitude. Le froid qui nous fait trembler de plus en plus. Ce froid qui nous agresse et auquel on ne s'habitude pas, j'en suis sûre. Même en vivant 60 ans ici. Ce froid, léger. Ca autorise les coups de blues "c'est le temps qui fait ça". Ca purifie. Vite fait. Je respire encore en tout cas.
Des notes bofs, des notes biens. J'suis irrégulière. Encore, sans blague ? Ouais. J'ai rien fait ces jours ci. Excuse, plus ou moins réaliste, selon l'envie : Ninou avec moi. C'est pas sérieux... Enfin, on a commandé les billets pour Noël. Voyage à deux, plus loin que la nuit et le jour... Heu, quand même pas.
On parle, on chahute, on se dispute mais au fond pas tant que ça, on se câline et on repart pour un tour. J'ai passé mon week end à glander sous la couette... Mon sac n'a pas bougé depuis Samedi midi...
Il est arrivé Mardi soir, à mon grand bonheur. Ce jour là même où je ne commençais qu'à midi. Ca fait une belle journée, même sans tellement voir Tnb & co.
Enfin, je l'aime et c'est comme ça. Même si. Parfois je doute, je m'interroge, et que mille et une questions s'imposent à moi. Alors je pars dans mes nuages, et ça m'obsède de le voir avec un autre regard que celui d'une fille amoureuse. Et ça lui fait du mal, ça m'en fait aussi quelque part, cette comédie sans fin et sans but. Si, un but peut être. Exploser mon quota de connerie ? Quoiqu'il en soit, c'est là et c'est vilain. Toujours les même choses qui tournent tout le temps, tour à tour depuis trois quatre jours. Lui, Elle, Lui bis, Elle bis, Lui, Elle...
Chercher à comprendre le pourquoi de tout. Faire quelque chose, et me culpabiliser juste après. Faire l'inverse avec le même effet. En venir à ne plus rien faire à part regarder le plafond. Aussi simple que ça, il est blanc. Puis ça m'hypnotise, et je suis plus tranquille après, sans savoir d'où ça vient.
Parfois, m'énerver contre, me calmer et m'en vouloir quand même d'être comme ça. M'en vouloir de ne pas être totalement comme il aurait voulu, être celle qui aurait pû être parfaite ou presque à ses yeux. Mais j'y peux rien, je n'y arrive pas. Un peu comme me mentir à moi même, et bannir ceux qui osent. Je ne me crois pas tout le temps, c'est bien le problème. Ce tout petit mot qui revient en permanence, doute, doute, doute. Hésitation aussi.
Et j'en ai marre de mon blog. J'en viens à le détester. Ptete parce que j'arrive à rien avec. Ca me mène à quoi cette mascarade, après tout ? Je vais raconter ma vie comme ça, toutes les semaines, durant combien de temps ? Pour faire quoi ? Plus ça va, moins j'en dis. Pis ça me saoûle d'écrire comme ça. Faut que je fasse une remise en question de ça bientôt. Quand je trouverai le temps. En attendant ça survit.
Pis j'en ai marre de me prendre la tête sur des trucs d'abrutis. J'ai tout pour être contente. Mais j'ai pas envie.