Malheur et putréfaction, je sais. Je n'ai pas écris depuis longtemps, et c'est une honte ! Mais si vous saviez ce qui m'est arrivée à moi, mondaye, depuis tout ce temps... que du bonheur... ou presque.
En fin de semaine où je n'ai pas bloggué (après le Mardi 11), j'aurais aimé parlé de l'anniversaire de Ninou, le Jeudi 13. On s'est un peu énervés ce jour là. Il était triste, et tout seul chez lui. C'est pour ce genre de moments que j'aimerais pouvoir me téléporter à ses côtés, pour le prendre dans mes bras, l'enlacer et le câliner. C'est dur d'être à trois quarts d'heures de chez lui, même si c'est mieux qu'être à 7 heures ou plus. On se dit "je peux allé le voir, ce n'est que trois quarts d'heure" et finalement le "ce n'est quand même pas possible" reprend le dessus. Enfin, on s'est rattrapés un peu le Samedi, quand je suis allée le voir pour le week end, comme d'habitude. Je lui ai offert sa chaîne, il a aimé. Et on a fait pleins de câlinous. Et on est allés au resto tout les deux, c'était cro mimi. Je love mon Bizounours !
Ensuite, fin de la dernière semaine de cours, avec la fin de la première partie du premier trimestre. Encourageant, on est assez content de moi. Mais il reste tant à faire, et je ne sais pas si tout ça va durer. J'espère en tout cas. Ca serait bien si j'avais enfin compris ce que ça veut dire se préoccuper des cours, et travailler, faire des efforts, ne serait ce qu'un peu. Avec l'espoir que les bons résultats ne feront pas, comme d'habitude, baisser mon quota de travail... Je pense essayer d'aller en prépa après. Faut que je me renseigne, ça m'aiderait peut être à bien bosser maintenant pour y accéder, et à bien bosser après parce que je sais que c'est dur, d'après ce que l'on dit. Mais j'veux vivre tout bien après toutes mes études, avec mon Ninou, et notre tite fille... Mais pour ça, travail, travail, repos !
Bref. Le début des vacances, avec mon chéwi. Sa maman qui est venue, avec ma belle petite soeur. C'était génial : on était à quatre dans le studio, la plupart du temps toutes les trois sur le dos de mon Ninou (ui je sais, ah les femmes !), ou alors on sortait. On est allés à Astérix Dimanche dernier, photos peut être quand j'en aurai... On s'est super bien amusés quand même, j'ai littéralement a-do-ré ! Et puis, du shopping aussi, pour une fois que mon Ninou supportait plutôt bien... J'ai pas fait de ciné pour changer, j'aurais aimé voir Les Noces Funèbres. C'est pas très grave, j'aurai d'autres occasions.
Après qu'elles soient parties, étant toute seule à la maison, j'en ai profité pour travailler et lire. J'ai fais tous mes devoirs ou presque, j'ai fini Rien de Grave, et j'ai entamé Harry Potter. Et ui. Tout ça parce que pendant tout ce temps, je n'avais plus de PC : bloc d'alimentation au terminus de sa life... Petite minute de silence. *...* Reste à en trouver un autre, compatible... Brin. Heureusement qu'il y a mon gentil Ninou pour me prêter son iBook, sinon, que ferais-je (même si parfois il lag comme un mort) ? Enfin, là pour ce week end, Bizounours était avec moi, on a regardé des Buffy à la chaîne. Faut qu'on achète les autres saisons, c'est trop fort !
A part ça, je n'ai vu personne du monde du Lycée... Tout à l'heure, je vais voir ma Tnb adorée que j'aime d'amitié chez elle, dans sa chambre, sur son lit de Princesse... Hihi (tout yeurk ce hihi mais osef) ! On va faire la bannière pour le concert de Superbus, faut que ça en jette ! Sinon, je crois que pour voir les autres, c'est un peu tard... Je délaisse ma Memel (scuse moi pour hier soir et ma non réponse à ton sms...) pis je n'ai pas dis un seul mot au brave Chester. Bwah, lui je sais qu'il est à 300 mètres de moi, pis je bouge pas. Disons que je le laisse en paix avec sa femme ! Et puis, Clémence. C'est comme si elle faisait plus parti de ma vie, je l'ai croisé nul part ni rien. Je me rattraperai avec des slurps et des bizoux de loutres. Pis hier, 22:45, sms de Clémentine. Rien que pour l'heure, j'ai pas répondu. J'veux voir les Noces Funèbres avec mon chéri, désolée...
En ce qui concerne ma vie maintenant. Ben, j'ai besoin d'autres lunettes. Pas étonnant mais bon, yeurk quoi. Mais j'ai plus trop mal à la tête maintenant (ui je sais, je ne les met pas assez, c'est pour ça). Je vais chercher les nouvelles Mercredi. Et je vais chez le coiffeur aussi le même jour. Donc Jeudi, nouvelle mondaye pour... la rentrée. Humpf. Encourageant, mais passons.
Hier soir, discution avec Lycia, depuis très longtemps. Si j'avais pas eu de cours de SES j'aurais pété un câble je crois. Enfin, ptete que ce que je ressens ne compte pas pour le truc, mais à ma petite échelle, si quand même. Je comprends ce qu'ont pu penser ces gens qui croyaient avoir torturé et tué quelqu'un par obéissance à des scientifiques. Qui culpabilisaient, même si on leur avait ordonné, même si c'était leur devoir de le faire. Et à qui on a ensuite dit que la personne qu'ils avaient tué jouait la comédie, qu'ils n'ont électrocuté personne en réalité. Mais qu'ils l'auraient vraiment fait si on leur avait simplement ordonné, sans jamais se rebeller contre cet ordre injuste de toute évidence. Enfin. Je me comprends toute seule. Mais Arnaud se sent relativement comme un cobaye. Moi finalement pas trop. Juste que j'ai mal. J'avais placé tellement dans ce personnage que ça me parait impossible de l'oublier. Et c'est dur de croire encore. Déjà qu'avant, même si on acceptait les évènements on doutait toujours un peu, se disant "ce n'est pas concrètement possible, il y a un truc qui cloche, une boucle incomplète", on croyait, pensant que tant qu'on avait pas à s'investir réellement ça irait. Mais on avait oublié un peu beaucoup qu'on s'était quand même investis, du point de vue sentimental. Ca devrait compter. Ca compte tellement. Et c'est dur de faire une différence entre la personne réelle, et le personnage. Est ce que ça a une importance ça aussi maintenant, autant que nos sentiments ? Non. Pas envie de m'y risquer. Même si j'aimerais bien. Y a sans doute des limites à l'acceptable, et les miennes sont franchies. Je ne sais pas si je peux reconstuire quelque chose de sain sur tout ça. Faut que j'arrive à méditer. Dur. Je verrai bien ce que ça donne. On sait jamais.