Je crois que je suis malade. Non non, pas du cerveau. Malade physiquement... pour une fois. Enfin...
J'ai réussi à "manger" en 20 minutes ce midi, pour le cours de Sciences Po. J'espère que ça va marcher. Et j'espère avoir la moyenne au DS d'Espagnol aussi... ce qui est déjà plus difficile (pour moi) que les SES...
Et puis, toujours mes Schtroumphs. Et envie de le voir. Envie de le sentir. Envie de le toucher. Envie de ses mains, de son regard et de ses lèvres. Envie de sa présence, de son sourire et pourquoi pas son rire. Envie de sa voix. Même envie de ses larmes si il faut. Envie de câlins, de mots, de tendresse. Envie d'ami, envie d'amour. Envie de parler, sans rien à dire. Envie de lui.
J'ai regardé (encore) la Belle et la Bête. Pas moyen. Plus le temps passe, et plus je trouve que ce dessin animé est fait pour moi. Il me correspond sur tellement de points. Je me demande si je ne me fais pas correspondre tellement il doit y en avoir. Il est magnifique. La musique, la grâce des personnages, si typiques des Disney de cette époque là. Et l'histoire tout entière. Le besoin de Belle d'avoir un ami, de réaliser ses rêves, qu'elle a plein la tête. Son envie d'échapper au monde des autres, de vivre autre chose que ce que vit la majorité des gens. Son besoin à lui d'être aimé et d'apprendre à rêver. C'est si simple. Et si compliqué.
Ne plus réfléchir, ne plus chercher à penser à autre chose qu'à soi-même. C'est totalement vrai, on en veut toujours plus. Et ça nous pousse à changer, à évoluer. Peut être pas dans le bon sens. Et si on peut appeler ça de l'évolution dans certains cas. On veut ce que l'on a pas. Quel intêret de vouloir ce que l'on a ? C'est toujours mieux dans l'assiette du voisin... Bof. Le cake, ça a l'air bon. Et c'est à gerber. En plus ça pue. [Au point de cacher sa part dans sa veste ?] La norme informelle qui nous pousse à nous plier à la volonté du plus fort. On me disait "Il n'y a pas de droit, il y a le pouvoir". Peut être. Le rose, c'est moche. Et je ne sais pas pourquoi, mais j'aime bien. C'est possible de se sentir soi même bizarre si on fait pas comme les autres ? Et de se sentir bizarre de faire différemment ? Mouais. Je regrette le temps où j'arrivais à me fiche des autres, et où la seule chose qui comptait c'était les aventures de Scarlett et son égo. Ou de Montag, qui résume bien la situation quelque part d'ailleurs. Notre grande guerre est spirituelle. Ben c'est mal barré.